De nos jours les ennemis de l'Islam et leurs "subalternes" essayent de confisquer à la femme (musulmane) sa dignité et de la spolier de ses droits (qu'Allah lui a accordés).
Ils tiennent à la faire sortir de son foyer afin qu'elle travaille côte à côte (dans la promiscuité) avec les hommes ou qu'elle soit au service des hommes comme infirmière dans les hôpitaux, ou hôtesse d'accueil dans les avions, ou étudiante, ou enseignante dans des classes mixtes, ou actrice dans un théâtre, ou chanteuse, ou encore présentatrice dans les émissions des différents médias, apparaissant dévoilée, séductrice par sa voix et son image. Les revues obscènes utilisent les images de jolies filles séductrices et dénudées comme moyens pour bien vendre leurs publications.
Certains commerçants et certains producteurs vont jusqu'à utiliser ce genre de photos sur leurs marchandises pour booster leurs ventes. Pour toutes ces raisons, les femmes ont renoncé à leur véritable vocation qui est de rester dans leur foyer. Cela a contraint, par conséquent, les époux à faire appel à des domestiques étrangères pour élever leurs enfants et s'occuper de leur foyer ; ce qui n'est pas sans entrainer un grand nombre de tentations et de maux.
La femme musulmane peut-elle travailler ?
Nous n'interdisons pas le travail de la femme en dehors de son foyer, mais cela doit obéir à un certain nombre de règles dont :
1- Que la femme ait besoin de travailler ou que la société ait besoin d'un tel travail faute de trouver chez les hommes ceux qui veulent l'accomplir.
2- Que ce travail soit accompli après que les travaux domestiques - qui sont son principal travail - soient au préalable effectués chez elle.
3- Que ce travail soit exercé dans un environnement purement féminin, comme le fait d'enseigner dans des écoles de filles, de pratiquer la médecine ou des activités paramédicales dans les services femmes des établissements hospitaliers, à l'écart de la gente masculine.
Ainsi, rien n'interdit, ou plutôt il est obligatoire pour la femme d'apprendre les choses en rapport avec sa religion. Nul grief aussi à elle d'enseigner aux autres femmes ce qu'elles doivent connaître de leur religion. Il n'y a pas de mal non plus si la femme se rend à la mosquée ou à tout autre endroit pour assister aux cours dans le but d'acquérir la science bénéfique à condition toutefois de sortir de chez elle voilée et de se tenir éloignée des hom- mes, à l'instar de ce que les femmes faisaient au début de l'Islam, époque durant laquelle elles travaillaient, appre- naient et se rendaient à la mosquée.
Tiré de Règles de Jurisprudence Relatives à la Femme Musulmane pages 23 à 25.